Pour un apostolat biblique au Congo, à la lumière de l’Exhortation apostolique post-synodale Verbum Domini, du Pape Benoît XVI Introduction Le 30 septembre 2010, en la mémoire de Saint Jérôme, le Pape Benoît XVI a publié une exhortation apostolique post-synodale sur la Parole de Dieu, Verbum Domini (VD). Quarante cinq ans après la publication de la constitution dogmatique sur la Révélation divine, Dei Verbum, du Concile Vatican II (18 novembre 1965), l’Eglise présente un document du magistère pontifical tout consacré à la place de la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Eglise. Malgré la possible confusion des noms des deux documents, il y a un lien profond qui les unit. L’exhortation post-synodale vient, en effet, actualiser et élargir, en quelque sorte, le Concile sur le domaine spécifique de la Parole de Dieu. Un an avant la tenue du Synode sur la Parole de Dieu (le 22 février 2007), le Pape Benoît XVI publiait la première exhortation apostolique post-synodale de son pontificat, Sacramentum Caritatis, sur l’Eucharistie, source et sommet de la vie et de la mission de l’Eglise. Là aussi, il faut trouver une continuité de l’enseignement du magistère entre l’Eucharistie, d’un côté, et la Parole de Dieu, de l’autre. Si l’Eucharistie est source et sommet de la vie et de la mission de l’Eglise, celle-ci trouve sa base dans la Parole de Dieu. Il n’y a pas de cloison étanche entre les deux. Déjà, le Concile Vatican II avait œuvré pour que la Parole de Dieu retrouve tout son épanouissement au cœur de la célébration eucharistique. C’est, en définitive, l’Eglise qui retrouve tout son dynamisme, en tenant sur une main le pain eucharistique et, sur l’autre, le livre de la Parole de Dieu. Notre propos s’articulera autour de deux points principaux : d’abord, une présentation sommaire de l’Exhortation apostolique Verbum Domini - c’est le point de départ de toute réflexion y relative ; ensuite, il se penchera sur l’apostolat biblique dans le contexte particulier du Congo. I. Présentation sommaire de Verbum Domini Cette exhortation est organisée en trois grandes parties. Après une introduction (n°s 1-5), qui situe le document dans son lien avec le Concile Vatican II et pose déjà comme principe de base, comme guide (VD n°5), le prologue de Jean (Jn 1,1-14), une première partie intitulée Verbum Dei (la Parole de Dieu ; nn. 6-49) qui présente ce Dieu qui parle, auquel l’homme répond et dont la Parole doit être lue et interprétée selon les principes de l’Eglise. Dans la deuxième partie, qui a pour titre Verbum in Ecclesia (la Parole en Eglise ; nn. 50-89), l’exhortation se penche de manière particulière sur le rapport entre la Parole de Dieu et la vie, ainsi que la mission de l’Eglise, elle qui est la dépositaire du patrimoine non seulement de la Parole mais aussi de la révélation de Dieu en Jésus Christ. C’est à elle, l’Eglise, que la Parole de Dieu a été donnée ; c’est elle qui l’a reçue ; elle qui doit en vivre et l’annoncer (Cf. Constitution dogmatique sur la Révélation divine, n°1). Enfin, la troisième partie – la partie principale - est intitulée Verbum mundo (la Parole dans le monde – n°s 90-120). Ici, l’exhortation dégage diverses implications de l’accueil de la Parole de Dieu, et de la responsabilité qui découle de l’écoute de la Parole de Dieu. Il y a, en fait, une relation profonde entre la Parole de Dieu et le monde. Cette organisation tripartite du document montre une démarche de l’esprit qui commence par poser les fondements d’ordre dogmatique et finit par les implications d’ordre pratique. Mais, au-delà de la démarche intellectuelle, c’est la Parole de Dieu qu’on a voulu présenter de manière exhaustive. Celle-ci émane de Dieu qui veut se communiquer aux hommes ; elle est accueillie, vécue et annoncée dans et par l’Eglise, mais elle est donnée au monde entier et pour le monde. A la base de tout cela se trouve un souci : que l’Eglise redécouvre le rôle de la Parole de Dieu dans sa vie et sa mission, et qu’elle la proclame au monde entier selon le mandat qu’elle a reçu de son fondateur. Tout d’abord, le titre de l’exhortation. Verbum Domini rappelle l’acclamation qui conclut, dans la liturgie la proclamation de la Parole de Dieu, que ce soit la première et la deuxième lecture ou l’Evangile, et auquel l’assemblée répond soit par Deo gratia (« Nous rendons grâce à Dieu »), soit par laus tibi Domine (« Louange à toi, Seigneur Jésus »). Ceci montre l’importance que l’Eglise accorde au texte des Ecritures Saintes, la foi qu’elle exprime vis-à-vis d’elle. Déjà, le Concile Vatican II, dans sa Constitution sur la Liturgie, affirmait que c’est le Christ qui parle lorsque, dans l’Eglise, on lit les Saintes Ecritures (Constitution sur la Liturgie, n°7). Fort de cette foi, le même concile a entrepris sa réforme liturgique, en accordant un grand espace à la Parole de Dieu. C’est dans le sillage donc du Concile Vatican II qu’il faut comprendre l’exhortation apostolique de Benoît XVI. La Parole de Dieu est le cœur de la vie chrétienne ; l’Eglise est fondée sur elle. Elle naît et vit d’elle (VD n°3). C’est dans ce sens que la Constitution dogmatique sur la Révélation divine (Dei Verbum) avait voulu donné une grande impulsion pour la redécouverte de la Parole de Dieu dans la vie de l’Eglise, dans la réflexion théologique et dans l’étude scientifique (VD n°3). II. L’apostolat biblique au Congo 1. La lecture de la Parole de Dieu, une exigence de l’Eglise et de la foi L’un des problèmes auxquels il faut faire face aujourd’hui dans notre Eglise, c’est celui de la Parole de Dieu. Aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur, on sent une telle exigence. De l’extérieur, on peut parler de l’action des sectes qui utilisent souvent, à tort et à travers, la Bible. De l’intérieur, il s’agit de la croissance, de la fortification de la foi qui nécessite qu’elle soit nourrie. C’est à cette exigence que le Concile Vatican II a voulu répondre. Celui-ci a, en effet, redécouvert et remis l'usage des Ecritures au premier plan dans la liturgie et la vie des chrétiens, reconnaissant en elles le fondement de la foi et de la vie commune et individuelle. La Constitution Dei Verbum les considère comme « règle suprême de foi »[i]. Sacrosanctum Concilium, de son côté, exhorte que l’on promeuve « le goût de la Sainte Ecriture », même en dehors de la liturgie[ii]. Reprenant une belle affirmation de Saint Jérôme, Dei Verbum recommande, dans sa partie conclusive, en encourageant tous les fidèles du Christ, d’approfondir les Saintes Ecritures, car « ignorer les Ecritures, c’est ignorer le Christ »[iii]. Tout au long de son magistère, le Pape Jean Paul II n’a pas manqué d’occasion pour le souligner. Le Pape Benoît XVI, grand artisan de la constitution Dei Verbum du Concile Vatican II, va sur la même ligne. Nous sommes là sur un maillon essentiel de notre foi chrétienne. Le défi est lancé, il faut y répondre. A cet effet, chaque Eglise particulière est vivement appelée à mettre sur pied une pastorale de la Parole de Dieu pour que, comme le propose Verbum Domini, toute l’activité pastorale de l’Eglise soit imprégnée de la force de la Parole de Dieu[iv]. Il reste tout à fait vrai qu’il y a une soif inassouvie de lecture de la Bible. Il y a un désir de connaître la Parole de Dieu qui ne trouve pas de réponse au sein de notre Eglise. Il nous est, certes, difficile de faire une évaluation rigoureuse, mais le constat est indiscutable. 2. Les défis et les enjeux Le défi majeur que nous avons à affronter aujourd’hui, après avoir célébré les 125 ans de l’évangélisation de notre pays, est celui de la croissance du peuple de Dieu jusqu’à la stature du Christ (Ep 4,13). C’est de notre maturité dans la foi qu’il s’agit, de la croissance de l’Eglise et de la prise en charge de la croissance humaine par le peuple de Dieu. Il s’agit de la mission que le Seigneur lui-même a confiée à son Eglise : « Allez donc, de toutes les nations, faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit » (Mt 28,20). Un autre enjeu de taille que l’on ne saurait minimiser, c’est l’enjeu de l’inculturation, de l’enracinement de la foi chrétienne dans cette terre de récente évangélisation. Le Pape Benoît XVI, accueillant les évêques ivoiriens en visite ad limina apostolorum, en a reprécisé l’urgence : Pour que l’Eglise soit un signe toujours plus compréhensible de ce qu’elle est et qu’elle soit toujours plus adaptée à sa mission, le travail d’inculturation de la foi est une nécessité. Ce processus, si important pour l’annonce de l’Evangile à toutes les cultures, ne doit pas compromettre la spécificité et l’intégrité de la foi, mais il doit aider les chrétiens à mieux comprendre et à mieux vivre le message évangélique dans leur propre culture, et à savoir renoncer aux pratiques en contradiction avec les engagements baptismaux[v]. Ce défi, comme tel, n’est jamais passé de mode ; il est actuel, et l’Eglise ne peut s’y soustraire. Un problème est que, actuellement, la théologie africaine semble avoir perdu son élan, semble s’éclipser. Certains critiques n’hésitent pas de la désigner comme un mort-né. En réalité, passée l’époque de la revendication, la réflexion théologique africaine est en train de poursuivre sa course, quitte à se faire plus discrète, mais pas absente. On ne peut pas oublier les divers efforts qui sont déployés ici et là, dans le continent et ailleurs[vi]. 3. Les lieux d’exercice de l’apostolat biblique Parler d’apostolat biblique, c’est embrasser toute la vie de l’Eglise. L’intention n’est pas de dire que rien ne se fait ou, alors, que tout ce qui a été fait jusque-là ne soit pas de l’apostolat biblique. Il s’agit plutôt de redynamiser notre pratique, quitte à reprendre certaines intuitions, certaines pratiques, tout en les reprécisant, en en définissant les contours. Cette réflexion se situera principalement à deux niveaux : la promotion de la lecture de la Bible en dehors de la liturgie et la pratique de la lectio divina (ou lecture sainte). 3.1. La lecture des Ecritures en dehors de la liturgie La difficulté la plus grande, pour ce qui concerne l’homélie à la Messe, c’est le temps. Cela nous porte à souligner, avec insistance, la création d’autres plages où l’on peut rencontrer la Parole de Dieu. L’apostolat biblique a pour but donc de faire connaître, à plus de gens possible, la Parole de Dieu, de faire rencontrer le plus de gens possible avec cette Parole, et, partant, avec le Sauveur (cf. Jn 1,40-51). C’est un devoir impérieux, si l’on pense, par exemple, au ravage qu’exercent les sectes. Mais c’est plutôt sur la méthode qu’il faut insister. Une lecture spécifiquement scientifique ne saurait être efficace pour le peuple de Dieu, dans certaines circonstances ; elle est nécessaire, mais elle a besoin d’être liée à l’aspect spirituel que les gens cherchent souvent. Nous y reviendrons dans un autre paragraphe avec la pratique de la lectio divina. L’apostolat biblique a pour objectif, en effet, de stimuler la lecture – aussi bien personnelle que communautaire - de la Bible, de créer chez les chrétiens, l’habitude de la rencontre avec Dieu à travers sa Parole, non seulement à la Messe, mais aussi en d’autres occasions. C’est le cas de la catéchèse. Une autre expérience que l’on peut aussi tenter, c’est celle des cercles de lecture de la Bible. Ce sont des milieux où des volontaires se retrouvent régulièrement pour méditer, prier et réfléchir à partir de la Parole de Dieu, celle que propose la liturgie du jour ou non. On fait ainsi de la Parole lue, méditée et priée, la clé de lecture de sa propre vie et de la vie du monde. Mais, dans un tel contexte, il faudra ajouter une formation sur l’enseignement du magistère local et universel. Ce n’est que par ce moyen que l’on arrive à l’approfondissement de la foi. Le Pape y était revenu dans son message aux évêques de Côte d’Ivoire : « L’approfondissement de la foi, dit-il, est une nécessité, afin de pouvoir résister au retour des pratiques anciennes ou aux sollicitations des sectes et surtout de rendre compte de l’espérance chrétienne dans un monde complexe qui connaît de nouveaux et graves problèmes »[vii]. Il est vrai que le Pape ne parle pas, dans ce cas de l’apostolat biblique, de façon spécifique. Mais nous postulons pour une thèse selon laquelle sans enracinement dans la Parole de Dieu dans toute sa richesse, il ne saurait y avoir de vie chrétienne authentique. C’est de là que doit partir tout élan de la rencontre avec le Christ et toute maturation de la foi et de la vie chrétiennes. Pourtant, il faut de nouveau signaler une difficulté majeure, qui est le manque des traductions dans notre Eglise du Congo. Ceci sera un grand handicap pour l’apostolat biblique. Il est admis que les différentes traductions françaises rendent encore aujourd’hui un service indéniable. Mais elles ne remplaceront pas des traductions dans nos langues, celles que nous parlons à la maison, au marché, dans nos rencontres quotidiennes. Et si c’est aussi le Christ qu’il faut rencontrer tous les jours, quoi de plus normal que de le rencontrer avec les mots mêmes de sa propre langue. Là se situe encore notre point faible dont les différents agents, qui sont au service de la Parole de Dieu, devraient prendre conscience. L’accroissement du nombre de prêtres dans les diocèses semble ne pas encore trouver de réponse à ce problème. 3.2. La pratique de la lectio divina Tout au long de cette réflexion, surtout dans la seconde partie, le problème de la méthode à utiliser pour les différents moments de la pratique des Ecritures dans la vie de l’Eglise, a été souligné avec insistance. La nécessité d’une bonne herméneutique a été évoquée. C’est ici l’occasion d’en proposer une. En fait de méthode, il s’agit d’une pratique déjà bien attestée dans la tradition de l’Eglise, la lectio divina. Voici comment la Commission Pontificale Biblique la présente : « La Lectio Divina est une lecture, individuelle ou communautaire, d’un passage plus ou moins long de l’Ecriture accueillie comme Parole de Dieu et se développant sous la motion de l’Esprit en méditation, prière et contemplation »[viii]. Ses racines sont plongées dans l’Ancien Testament (Cf. Né 8) et dans la tradition de la foi juive qui recommande la lecture assidue de la loi (Cf. Dt 6,4-9 ; Jn 1, 49). Son histoire dans la communauté chrétienne pourrait remonter déjà à la pratique d’Origène (IIIème siècle après Jésus Christ), ce grand lecteur africain de la Bible. La vie monastique en a fait un usage quotidien, surtout en ce qui concerne l’aspect individuel. C’est d’elle que nous avons reçu l’image de l’échelle qui part de la terre et dont le sommet pénètre dans le ciel. Cette échelle est la lectio divina. Actuellement, la pratique revient avec beaucoup de force, et beaucoup de communautés ecclésiales la vivent. Le mérite revient, bien évidemment, au Concile Vatican II qui a ouvert largement l’accès aux Saintes Ecritures à tout le peuple de Dieu. Il faut donc savoir profiter de cet outil traditionnel qui a nourri des générations entières de chrétiens. Cette pratique a un avantage, celui d’être enracinée dans la liturgie, comme le reconnaît le Catéchisme de l’Eglise Catholique[ix]. Elle reflète bien le visage de la prière chrétienne qui s’applique, de manière excellente, à méditer les « mystères du Christ »[x]. L’accent, sur cette méthode, résulte du fait de sa double caractéristique, c’est-à-dire individuelle et personnelle. Il appert que plus l’on apprend ensemble à lire la Parole de Dieu, plus on s’habitue seul à la fréquenter. Ainsi, petit à petit, l’on peut faire entrer jusque dans sa vie familiale une pratique hautement chrétienne, celle de la lecture de la Bible. C’est, une fois de plus, à la Commission Pontificale Biblique que nous recourons pour mieux faire ressortir le but de cette lecture priante de la Bible : « Le but recherché est de susciter et d’alimenter “un amour effectif et constant” de la Sainte Ecriture, source de vie intérieure et de fécondité apostolique (EB 591 et 567), de favoriser aussi une meilleure intelligence de la liturgie et d’assurer à la Bible une place plus importante dans les études théologiques et dans la prière »[xi]. Quelques paroisses se sont lancées dans la pratique de la lectio divina collective. Il va falloir élargir le rayon, en intéressant le plus de personnes possibles. Alors, la Bible pourra sortir de l’oubli de l’abandon dont elle est l’objet, pour entrer dans les habitudes des chrétiens catholiques, et de fil en aiguille, nous développerons en nous-mêmes et chez les autres, une vraie passion pour la Parole de Dieu. Conclusion Notre propos a commencé à présenter l’Exhortation apostolique post-synodale Verbum Domini, au sujet de l’importance de la Parole de Dieu dans la vie de l’Eglise et de chaque chrétien. Il a débouché, enfin, et de manière concrète, à ce que nous entendons comme apostolat biblique. Si l’on devait tirer une conclusion, elle ne serait rien d’autre que la reconnaissance de ce que ce document a tenu à revaloriser. L’Eglise vit de la Parole de Dieu et des sacrements. Cette Parole de Dieu doit être promue pour la croissance et la consolidation de la foi. Toutefois, il sied de reconnaître qu’il s’agit d’un service noble et exigeant. C’est tout simplement un défi qui est lancé à notre Eglise particulière. Celle-ci sera ce que nous en ferons, mais elle n’arrivera à sa pleine maturité que si nous intégrons dans notre action pastorale et, plus encore, dans notre être, la centralité de la Parole de Dieu. Ainsi, une pastorale spécifiquement biblique devient encore plus qu’une urgence. C’est un impératif qui fera porter à notre jeune Eglise ses fruits de maturité chrétienne et de sainteté ; une Eglise toujours ouverte et attentive à ce que dit l’Esprit (Ap, 2-3). Abbé Ildevert Mathurin MOUANGA Professeur d’Ecritures Saintes Grand Séminaire de Théologie Cardinal Emile BIAYENDA Brazzaville
[i] Concile Œcuménique Vatican II, Constitution dogmatique Dei Verbum (18 novembre 1965), n. 21. [ii] Ibidem, Constitution Sacrosanctum Concilium (4 décembre 1963), n. 24. [iii] Ibidem, Constitution dogmatique Dei Verbum, n. 25. [iv] Cf. BENOIT XVI, Exhortation apostolique post-synodale Verbum Domini (30 septembre 2010), n. 73. [v] Benoit XVI, « Discours aux évêques de la Conférence Episcopale de la Côte d’Ivoire », dans L’Osservatore Romano (lundi-mardi 3-4 avril 06), 5. [vi] Cf. B. Bujo – J. Ilunga Muya, « Introduction générale. Situation de la théologie africaine », dans B. Bujo – J. Ilunga Muya (éd.), Théologie africaine au XXIe siècle. Quelques figures, vol. 1, Paulines, Kinshasa 2004, 8. [vii] Benoit XVI, « Discours aux évêques de la Conférence Episcopale de Côte d’Ivoire », 5. [viii] Commission Biblique Pontificale, L’interprétation de la Bible dans l’Eglise, 111. [ix] Jean Paul II, Catéchisme de l’Eglise Catholique (11 octobre 1992), n. 1177-1178. Le CEC présente la lectio divina comme prolongement de la Liturgie des Heures, qui à son tour, prolongement de l’Eucharistie. [x] Ibidem, n. 2708. [xi] Commission Biblique Pontificale, L’interprétation de la Bible dans l’Eglise, 111.
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